Comment les films documentaires se font aujourd’hui en Afrique ? Ayant animé des ateliers de réalisation, j’ai voulu filmer notre travail. Le « courant continu », c’est celui des films qui s’écrivent à partir d’histoires qui se vivent ; c’est la singularité et l’universalité de l’Afrique ; c’est ce qui nous relie par-delà une disparition d’un ami ; c’est la puissance des enjeux que disent les visages et les voix ; c’est l’énergie du processus de transmission ; c’est le désir de cinéma qui nous anime.